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EXPOSITION COLLECTIVE / 2024

À partir du 23 novembre jusqu’au 11 janvier 2025 à l’exception de la semaine de Noël, du mercredi au samedi, de 15h à 20h

ON-OFF Studio participant à la 2ème édition des Portes Ouvertes d’Ateliers et Galeries d’Art portées par la Mairie de Paris 17ème, 23-24 Novembre

DEDANS et DEHORS
ICI et PLUS LOIN
Un anneau olympique, l’Atlantique, avenue de Clichy, la tour de la Poste… du carton de rue, de la vitre cassée… des cercles et des lignes directrices… pour franchir des caps.

Maria COSATTO
Federica NADALUTTI
Fulvia NICOLINI
Gisèle REVERDIT

Exposition collective / installation urbaine, sculpture, installation vidéo, photographie.

Oser plonger entre les bandes de macadam…
Sculpture urbaine appartenant à l’ensemble PRODIGES, 2m X 0,46m – Technique mixte / bois, impression vinyle de la post-production des photos et des vidéos, PVC, toile, acrylique.

Le plongeur vient d’une fresque peinte sur le couvercle d’une tombe du 4ème siècle av. J.-C. près de Paestum. Vaillant et déterminé, à ciel ouvert, passera-t-il entre les bandes de macadam pour traverser le ciel et atteindre l’océan ? Il semble confiant dans son geste élancé plein de beauté. Il ose.

Cette création s’ancre dans l’actualité et se tourne vers l’avenir avec les défis sociétaux à surmonter, pose des questions sur l’humanité, l’écologie, l’éthique. Elle est une métaphore sur la manière de renouveler le monde. Monde representé par cet anneau olympique restauré qui place la performance prodigieuse du plongeur dans une rue parisienne. Propager des images « poélitiques »…

Maria COSATTO

Création réalisée après la restauration d’un vrai anneau olympique au couleur bleu récupéré via notre partenaire MUTO.

Installation appartenant à l’ensemble PRODIGES, réalisée par Maria Cosatto en collaboration avec l’artisan d’art argentin Jorge Michieli

Au pied de l’arbre, au 181 Avenue de Clichy – Paris 17, une scène urbaine m’interpelle. Quelle destinée pour ces morceaux de vitre cassée éparpillés sur le macadam où chaque pièce porte la trace de l’accident sous la forme d’une cassure tout en gardant son éclat, ses reflets ? Défier l’incertitude, l’inutilité, pour reprendre vie… Chacune des pièces est prodigieuse comme un diamant.

Techniques mixtes. 5 bagues en verre cassé serties en alpaca présentées sur macadam, Impression photo numérique sur papier, tissu, bois.

L’ÉCHAPPÉE développe la concentration par un ensemble de quatre éléments façonnés en carton, surfaces opaques entourées d’une bande d’aluminium réfléchissant la lumière du lieu qui varie en fonction du déplacement du spectateur. Ce travail est inspiré d’un jeu d’enfants, où nous faisions rouler des pions au sol sur de longues “routes” faites de vieilles planches en bois.

BRÉONS révèle l’orientation et se compose de poutres flottantes, des parallélépipèdes qui traversent l’espace et des empreintes au sol. Ils font lien entre le DEDANS et le DEHORS, apesanteur et direction, le « plus loin », en dialoguant avec les autres œuvres de l’exposition. Des volumes et des lignes à l’aplat hautement élancés comme des géants flamboyants.

L’ÉCHAPPÉE Carton, aluminium

BRÉONS bois, pigment

Déambuler entre le réel et l’imaginaire. Laisser la caméra entraîner le corps et s’abandonner à la poésie des formes incertaines qui rythment le paysage urbain. Là où le banal trouve des espaces remarquables pour enfin « Poser les apparences ». C’est dans le dialogue entre les images en mouvement et les estampes qui composent les « 7 mètres de vie en rose », dans cette respiration des enroulements du papier ; entre l’encre et la lumière que l’aléatoire surgit du viseur, comme pour inviter au déplacement de nos points de vue.

POSER LES APPARENCES
Film super 8, montage numérique sur première d’une durée de 2’20’’ projeté au-dessus de 7 bandes de 7 mètres de long sur 10 cm de hauteur. Chaque bande contient 70 gravures carrées de 10 cm chacune, estampées sur du papier japonais et marouflées sur la tarlatane. Chacune présente un chapitre de l’existence :

7 MÈTRES DE VIE EN ROSE  C’est tout… /  Ligne de main / S’échouer ailleurs / Un ruban de natures mortes / À travers l’absence / À l’abri de mes interstices / Et puis s’en vont.

Installation, 2024
Technique mixte, papier, tissu, vidéo-projection, céramique

Vidéo : https://vimeo.com/manage/videos/924315401

Encore la ville ; une nouvelle déambulation dans Paris, le quartier de Beaugrenelle propose une improbable rencontre de deux constructions : au premier plan, des locaux techniques sous forme de massives colonnes, en arrière-plan, la tour Keller, un gratte-ciel résidentiel plus connu comme l’immeuble de la Poste, logement de ses salariés.

Très éloignées physiquement, elles sont pourtant imbriquées, proches, complices pour « faire image ».

Une tour aux mille fenêtres comme un damier de pixels, moucharabieh, comme une répartition millimétrée d’ombre et de lumière face aux massives colonnes aux blanches rondeurs de béton, taillées à facettes…un panier de vie, un jeu des géométries distinctes, une entente urbaine.

Photographie, 2024

Installation urbaine, impression sur bâche

210 x 142 cm

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